Feel By Smell, un nouvel air pour une nouvelle ère

FAITES ENTRER LES HUILES ESSENTIELLES DANS VOTRE ENTREPRISE

FAITES ENTRER LES HUILES ESSENTIELLES DANS VOTRE ENTREPRISE

PAULINE DUMAIL – AUTEURE – CONFERENCIERE

PAULINE DUMAIL – AUTEURE – CONFERENCIERE

La vie est un parfum, respirez-la !

Un roman initiatique, quantique et parfumé

Conférence Immersive

Faire vivre l’olfactologie à travers un parfum nommé « Connais-toi toi-même »

Soirée Prestige FCE 95 Oct 2019

 Thème de l’année : l’entreprise et la création artistique

Feel By Smell et les FCE 95 (Femmes Chefs d’Entreprises) ont co-créé leur parfum, et cette soirée fut l’occasion d’une restitution humoristique, poétique, et bien sûr, parfumée !

La vie est un parfum, respirez-la !

Un roman Initiatique, Quantique et Parfumé

Conférence Immersive

Faire vivre l’Olfactologie à travers un Parfum nommé « Connais-toi toi-même »

DES PARFUMS NATURELS VIVANTS

DES PARFUMS NATURELS VIVANTS

Les huiles essentielles

Ces quintessences de la nature relient chacun à son essence primordiale et ont des effets favorisant la détente, la bonne humeur et la convivialité

Les huiles essentielles

Ces quintessences de la nature relient chacun à son essence primordiale et ont des effets favorisant la détente, la bonne humeur et la convivialité

Lorsque les mots côtoient les senteurs, cela donne de la poésie => Baudelaire – Le flacon

« il est de forts parfums pour qui toute matière
est poreuse. On dirait qu’ils pénètrent le verre.
En ouvrant un coffret venu de l’Orient
Dont la serrure grince et rechigne en criant,

Ou dans une maison déserte quelque armoire
Pleine de l’âcre odeur des temps, poudreuse et noire,
Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient,
D’où jaillit tout vive une âme qui revient.

Mille pensées dormaient, chrysalides funèbres,
Frémissant doucement dans les lourdes ténèbres,

Qui dégagent leur aile et prennent leur essor,
Teintées d’azur, glacées de rose, lamées d’or.

Voilà le souvenir enivrant qui voltige
Dans l’air troublé ; les yeux se ferment ; le Vertige
Saisit l’âme vaincue et la pousse à deux mains
Vers un gouffre obscurci de miasmes humains ;

Il la terrasse au bord d’un gouffre séculaire,
Où, Lazare odorant déchirant son suaire,
Se meut dans son réveil le cadavre spectral
D’un vieil amour ranci, charmant et sépulcral.

Ainsi, quand je serai perdu dans la mémoire
Des hommes, dans le coin d’une sinistre armoire
Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,
Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé,

Je serai ton cercueil, aimable pestilence !
Le témoin de ta force et de ta virulence,
Cher poison préparé par les anges ! liqueur
Qui me ronge, ô la vie et la mort de mon cœur ! »