Mais au fait, le vivant, c’est quoi ? Les scientifiques n’ont à ce jour pas réussi à en donner une définition consensuelle et exhaustive. Le vivant contient une part d’indicible. Il ne se définit pas, il se médite.

Sentir des essences extraites de la nature, c’est se relier au Primordial.

« Notre société ne pourra pas s’accorder à un écosystème où tout est profondément interrelié et évolutif, si elle ne retrouve pas ses points de résonance les plus intimes avec les forces premières du monde » Bernard Boisson

Pas de produits dérivés du pétrole dans nos parfums. Pas de jus de cadavres…

Des jus de Vie !

Les huiles essentielles sont le chant, l’âme de la plante. Pour les extraire, il faut tuer la plante par la chaleur. mais ce qui nous fait dire qu’elles sont vivantes, c’est que le complexe assemblage des molécules produit par l’essence est une réalisation de la nature, contrairement à la chimie de synthèse qui réduit le monde à la vision et la connaissance de l’homme.

Une huile essentielle possède une structure chimique et moléculaire, mais elle possède également des qualités physiques vibratoires, un champ de connaissance qui en est à ces balbutiements, et que pour l’instant, par ce fait, nous appelons « intuition ».

Nous faisons partie de la Nature. Oublier cela, c’est conduire notre espèce à son extinction.

De cette conviction est née le besoin viscéral de nous engager concrètement.

Etre attentif aux essences que nous utilisons, au renouvellement des ressources, à une culture qui s’inscrit dans son environnement dans une logique « d’aggradation », et non de dégradation, qui préserve et favorise l’écosystème, est le point de départ de cette réflexion.

C’est ainsi que de consommateurs responsables, nous sommes devenus acteurs, en rejoignant l’équipe de l’ONG Man & Nature.

« toute surexploitation du vivant éradique le stade mature des espèces. Nous en faisons trop, trop vite, et le temps d’action réduit trop souvent le temps de la maturation. A société immature, nature immature » Bernard Boisson